En terme journalistique, on appelle cela "Le recyclage de dépêches".
Cela ne veut pas dire que l'on y comprend quelque chose...
Bon, maintenant, c'est toujours bon de rappeler les faits.
Car quoi qu'on fasse, "on" (à savoir les études "officielles" pour le remplacement
des luminaires) indiquant que l'on peut éclairer plus en diminuant l'énergie...
Chaque responsable politique désireux de bien se faire voir (sic) de ses
votants visera l'optimisation de l'éclairage... Même si on voit apparaître ici et là,
des vrais projets de "full cut-off" dans les nouvelles implantations.
Il y a quelqu'un, dans la dernière étude, que l'on connaît : Cristopher Kiba...
Il avait fait (notamment) une étude sur l'influence la lumière lunaire polarisée
sur les insectes. Très motivé à l'époque, je vois qu'il ne désarme pas.
Car hélas...
- on veut l'usage de full "cut-off" qui minimise la dispersion lumineuse latérale
- on vise l'usage de LED pour des "pseudo" raisons de durabilité
- le vrai coût de l'entretien LED, à ce stade, n'est pas pris en compte (pas assez d'expérience)
- Il y a des études d'implantation, avec la modularité que permet les LED
- on voit que l'on peut éclairer plus avec moins d'énergie, donc : on ne se pose
pas la question "faut-il éclairer" ???
- Toutes les études visent la quantité de lumière disponible au sol... Mais on ne tient
pas compte de la réflexion lumineuse, qui est largement plus haute avec les LED !
Donc, au final, le bilan : identique... Si pas négatif... Mais une super "c'est pas moi" de
la part des décideurs...
Rem : les dernières émeutes à Bruxelles relancent la discussion sur les éclairages "contrôlables"
avec réserve de puissance... On éclaire "200%" si on en a besoin...
Terrorisme : Allons, allons... Echelon nous écoute !
Disons, une campagne de "
sensibilisation à la pollution lumineuse par la suppression de la cause"...